Recherche personnalisée

jeudi 26 septembre 2013

Urbanized




The planning of a city is never easy. This documentary has picked a few examples relating to the design of a city and the influence they have on the city.
Through the documentary, we going to New York City and the making of the now famous High Line Park, we encounter a neighborhood in Cape Town transforming its social dimension by the adding up of new elements, also, Brasilia is under the limelight and developing countries as well.
The documentary has chosen great speakers who definitely are being involved into the development of the city for making it more livable for everyone.

New urbanism ou le retour aux anciennes valeurs...



Une des conséquences de la crise immobilière aux États Unis est le retour au centre urbain de la population. En effet, une nouvelle discipline appelée "new urbanism" prend progressivement ses marques dans le paysage américain.

Ce mouvement apparu vers les années 1990 a réellement explosé avec la crise des années 2008. Depuis, les projets qui visent à rendre la banlieue plus humaine se multiplient partout à travers le pays. Car, c'est de ça qu'il s'agit en premier. Le "new urbanism" a pour vacation de rendre les lieux d'habitations plus conviviaux et à échelle plus humaine. Notamment par la création de commerces aux alentour d'une rue commerçante à caractère humaine. Les habitations autrefois éparpillées et encerclés de gazons sont désormais regroupés au alentour d'une place conviviale où les gens peuvent se rencontrer, discuter et s'amuser à toute aise.
La banlieue tentaculaire essaie de devenir attirante de nouveau par l'ajout de cette nouvelle touche de "new urbanism". En effet, partout aux États Unis, la banlieue typique a perdue de sa gloire. Avec la hausse du pétrole notamment, les américains ont trouvés de plus en plus difficiles de s'établir en banlieue. Aussi. La croissance effrénée de celle-ci à créé une situation de plus en plus invivable pour leurs habitants. Il n'est pas rare pour un américain de passer plus de 2 heures dans les déplacements maison travail. De plus en plus, pour accéder à une maison moins chère que la normale, les constructeurs ont construit toujours plus loin afin de satisfaire l'appétit immobilier des consommateurs. Le résultat est plus ou moins mitigé après ces années de croissances folles.

Le prix du pétrole, qui est loin de celui qu'on connaît en Europe, a presque affligé le coup fatal pour l'agrandissement des banlieues toujours plus loin.  Le "new urbanism" a contre carré le mouvement en proposant la réorganisation de certaines banlieues délaissėes en proposant une forme d'habitat proche des villages. En copiant le style des villages anglais d'autant, les constructeurs désirent rendre la banlieue plus proche de ces habitants et surtout à dimension raisonnable. Bien sûre, la voiture est toujours de mise dans ce type d'habitat mais les distances se révèlent être moins impraticables à pied. Car, c'est bien cela toute la problématique. Pouvoir,se déplacer sans dépendre essentiellement de la voiture pour tout. En transformant des strips en "main street" entouré de logements accueillants, proches l'un de l'autre dans un style vieille Angleterre, l'Amérique désire retrouver un peu plus de contacts en bas de chez soi, bien que toujours artificiel, ces lieux de vie semble dessiner le futur des États Unis.

 La banlieue originale serait elle morte ?

pour en savoir plus, je conseille l'excellent livre qui questionne le devenir des banlieues en Amérique face aux problématiques nouvelles. Une des pistes évoquées le plus souvent semble être le "new urbanism" qui finalise le questionnement ultime en trame de fond: 

aussi, l'historique de la banlieue américaine, un de mes thèmes favoris, est brièvement reprise dans un de mes postes.



mardi 24 septembre 2013

Mad Man actuel...

Comment promouvoir du fast-food américain à Shanghai?
Plongé dans le monde de la publicité adapté aux codes étrangers, création très soignée, images superbes. Un bijou ce petit film.


Sunshine from American Buffalo on Vimeo.

lundi 23 septembre 2013

Thomas Birke

those urban photos are just beautiful. The photographer has perfectly sensed the nature of those cities and theirs motions. We wonder if you are still in the present time at the view of the work.
Thomas Birke

dimanche 22 septembre 2013

Fubiz

Voici un site web qui compose avec perfection photographie, design, voyage et technologie en tout genre. Une mise en page soignée de même que des photos de qualités sont les ingrédients ultimes de ce site.

samedi 21 septembre 2013


Voilà une manière original de promouvoir une marque de sous-vêtements dans les rues d'Anvers


Madrid et sa vision urbaine.

Madrid est une ville fascinante pour le développement urbain. La ville est littéralement au milieu de nulle part. L'espace est largement disponible. Au sud de Madrid, dans un paysage désertique, la ville ou plutôt sa périphérie lointaine est parsemé de villes moyennes, la plupart de 100.000 habitants plus ou moins, reliées entre elles par un réseau très bien entretenu de rails et de voiries. 



Durant les beaux jours économiques, l'Espagne profitait d'une croissance élevé grâce au secteur de la construction. Ainsi, de nombreux projets ont surgis à Madrid afin de faire face aux projections de croissance démographique dans la capitale. La bonne santé économique de la capitale attirait pas mal d'immigrés principalement d'Amérique Latine qui était presque sure de trouver un emploi rapidement en Espagne. La majorité débarquait à Madrid, véritablement la porte d'entrée de l'Amérique Latine, grâce à son aéroport (Madrid Barajas) très important.

Cette nouvelle population en recherche d'un logement moderne et confortable a poussé le gouvernement à accorder des permis pour la construction de quartiers entiers au alentour de la ville de Madrid. Ainsi, des petites villes périphériques ont vu leurs population doublée par l'apport de ces quartiers. Le gouvernement a toujours accordé sa préférence à la densification plutôt qu'à un étalement de maisonnettes malgré le foncier disponible.


Pour qui se "balade" dans la périphérie Madrilène, la vue de ces quartiers récents n'est pas rare et en 10 ans, la périphérie a changé considérablement de structure. 
De multitudes autoroutes, la plupart formant des "Rings" autour du noyau urbain de Madrid, relient ces nouveaux développements. Le réseau ferroviaire a également largement grandis avec ces développements. Le plus marquant de celui-ci est le Metro "SUR" (ligne12) qui dessine une boucle reliant les nouveaux quartiers denses de la périphérie sud de Madrid. Ensuite, le RER local (Cercanias) desserte presque tous ces nouveaux quartiers au centre ville parfois distant de 30, 40 KM. 
La crise subite récente (2008) a entaché la finition de certains de ces quartiers. Souvent, l'infrastructure de transport est construite en attendant patiemment la mise en route des projets immobiliers. 
Malgré la grandeur que peut transparaître ces projets immobiliers, il semble que Madrid ai réussi a transposer son modèle sociale urbain en périphérie. La crise a freiné la réussite par le manque d'habitants certains de ces quartiers, pourtant, la mixité et densification que dégagent ces quartiers semblent être prometteur.



Le modèle espagnol est mieux adapté aux besoins actuels de l'urbanisme dont la ligne de fond est la densification. 



i_heart_berlin_de

Interesting blog from a Berliner having started a blog on his city which has turned to be a must-see blog for everything related to the city which basically means fashion, party and trend setting.


Pull&Bear . The Berliners . Frank from "I Heart Berlin" from Pull&Bear on Vimeo.

http://www.iheartberlin.de/


vendredi 20 septembre 2013

KOMONO watches




Voilà une marque belge très tendance.
Don't wait for getting yours. 
wearekomono


just stunning video about the history of electronic music in Berlin and its contribution to the city.

http://vimeo.com/28611626 from Resident Advisor on Vimeo.

jeudi 19 septembre 2013

because...we LOVE House Music ...
"the Magician" is a DJ based in Brussels, Belgium. check it out.


Counterfeit Paradise

China's development in question. Is China doing it right?
http://www.matthewniederhauser.com/

Brit attitude



Because we are a shopping nation and because Topman is the best one. 

Britain is truly fan of shopping. It seems that it has been invented by Brits. Today, with the crisis, people in Britain tend to shop less however shopping online is booming. And new societies like ASOS are just cracking Britain. ASOS which means As Seen On Screen was originality founded (2000) specifically for searching clothes which you had seen on TV shows. With the years, it has become a big fashion company selling a lot. Number one in the UK for selling clothes, it is also the number one in Australia despite the fact that the company has made no ads over there.
Just stunning and the story continues. 
If you want to plunge into the fabulous world of Shopping in Britain, just take a look at the recent series: Robert Preston goes Shopping. Catch up online with BBC Iplayer.


Tokyo clash



Un régal pour les yeux, Tokyo est définitivement la ville de toutes les innovations. Une ville qui semble tout droit sortir d'un autre univers. A voir et à lire. Juste magnifique cette plongée dans la culture urbaine japonaise.
Tokyo Clash ,
R Barhen.





suburbia, naissance d'un mythe.





Chez nous, la banlieue n'a pas la même signification. Bien que, tout comme aux Etats-Unis, nous aspirons à une vie tranquille en campagne, le mouvement n'a jamais vraiment été aussi explosif qu'en Amérique. Le manque d'espace de l'Europe est sans doute la raison principale bien que notre mentalité a aussi contribué.
Quoi qu'il en soit, l'Amérique est le pays de la banlieue individualisé à l'extrème. Tellement qu'aujourd'hui, certains réfléchissent a un nouveau modèle de développement plus urbain, plus dense, en soi, plus européen.

Depuis le crash immobilier (housing bubble) récent de 2006, l'Amérique se retrouve avec un surplus évident de maisons toujours plus éloignés du centre-ville (downtown), avec comme seules connections, les "connectors". La population résidant dans ces immenses champs n'a comme seule solution la voiture pour se déplacer d'un bout à l'autre. Alors que chez nous, les bus, trains sont nombreux et disponibles partout sur le territoire, en Amérique, le tout voiture fut privilégié dés le début.

En effet, les premières banlieues en Amérique était des "lots" en bordure de centre urbain où des ingénieurs ont eu l'idée de reproduire le caractère campagnard des contrées proches tout en amenant le progrès de la civilisation urbaine. C'est ainsi que les premières banlieues furent toutes reliées par des "trolleys", des trams qui se chargeaient de faire amener les résidents de ces banlieues sur leurs lieux de travail et inversément. En somme, ce que nous européens, profitons encore aujourd'hui. 

Pourtant, tout change avec l'arrivée de l'automobile, la plus grande invention américaine. 
La Ford T du célébrissime entrepreneur du même nom fait son apparition dans les années 1900, c'est alors que les ventes explosent. Les américains commencent à devenir la nation de l'automobile, celle qui définit à merveille ce vaste pays sillonnés de Highways, signe de liberté, d'espace, d'individualisme.
Le lobby de l'automobile n'attend pas longtemps pour demander a l'état la planification d'un immense système de transport à travers le pays. C'est le début des Highways au Etats-Unis. Les traverses des trolleys qui transportaient avec charme les résidents des banlieues commencent à être démanteler, remplacer par des connectors et les nouvelles constructions s'envolent. 

Nous arrivons au premier crash boursier de l'histoire, 1929.
Le crash est sans prétendant, d'un nouveau type, il provoque pour la première fois l'affaiblissement d'un pays qui se pensait tout puissant. Pourtant, les américains, malgré leurs difficultés financières, refusent de céder leurs voitures récemment achetés. Signe d'un attachement qui ne cessera de grandir pour désormais la reine automobile. Malgré le crash, la banlieue reste l'aspiration de millions d'américains, c'est ce rêve américain en construction qu'ils désirent atteindre.
Il faudra attendre la fin de la guerre 40-45 pour véritablement mettre en route la machine à rêver, le rêve américain se forme et pour durer.

suite...



En effet, avec le retour des forces armées sur le sol américain, le besoin d'habitations est pressant et le gouvernement américain n'hésite pas à créer un projet de loi (bill) qui scelle véritablement le destin de l'Amérique.
La première véritable banlieue moderne suit et voit le jour à Staten Island, un endroit à proximité de New-York. Capable d’accueillir des milliers d'habitants dans des maisons uniformisées, le concept fait mouche et devient la norme. Dans les années 50, l'Amérique est en plein boom économique et semble ne jamais s'arrêter de grandir. Elle devient superpuissance et la première puissance mondiale dépassant le vieux continent européen.
Désormais, les américains semblent vivre pour consommer, toujours plus, est le credo des américains.
La banlieue américaine explose.  C'est le mode de vie des américains. Les villes se vident de leurs habitants qui migrent à toute allure vers l'artificiel campagne créée de toute pièce par les promoteurs. Les marginaux s'emparent des quartiers urbains délaissés. Commence alors une véritable décadence urbaine.
Manhattan est l'exemple ultime de ces années 70-80 qui voient affluer délinquance et crime en son sein et ce par l'arrivé toujours plus importante de population marginalisée.
Un renversement total de la ville du 19°siècle bourgeoise qui reléguait les pauvres en dehors de ses murs. Un concept européen en soi qui devient obsolète aux Etats-Unis très rapidement dès le début du 20°siècle mais son apogée est décidément les années 70.
Le mouvement ne cessera de s'étendre pendant de longues années. L'apparition des grands magasins (big boxes) en périphérie ne fait qu'accentuer l'accélération toujours plus loin des villes des banlieues. Il n'est désormais plus rare de faire plus d'une heure de trajet pour atteindre son lieu de travail. On est loin des prix de l'essence actuel et l'abondance semble être inépuisable. Les américains profitent allègrement de leur puissance et richesse. Le boom de la consommation est à son apogée. Les shopping malls se construisent pas milliers partout. L'américain passe son temps libre à consommer encore et encore. La carte de crédit est devenu son meilleur ami. L'endettement explose. Les maisons toujours plus abordables ne cessent de se construire. Les promoteurs explosent leur chiffre d'affaire. La norme est ancrée dans les mœurs pour toujours semble-t-il: avoir son chez-soi a tout prix, parcelle de terre qui excelle au maximum l'individualisme du capitalisme sur lequel est basé toute la société américaine.
Au prémices de la bulle immobilière des années 2000, Georges W Bush ne cessera de prêcher ce mode de vie individualiste qui est la fierté de l'Amérique, le rêve ultime, le rêve américain qui fascine tant les européens.
De 2000 à 2006, les constructions neuves retrouvent leur niveau de 1950, c'est à dire un boom exponentiel de maisons neuves. Les banques accordent des crédits ridiculement accessibles pour tous. La machine s'enraie, le bonheur facile semble avoir atteint ses limites. La suite, on la connaît tous, on recherche encore les solutions à l'heure actuelle, en 2013, pour s'en sortir.
Quoi qu'il en soit, la formidable histoire de la fascination de ces banlieues américaines continue de ma passionner. Je pense que la civilisation a véritablement connu son moment de gloire en Amérique de 1950 à 2010.
La banlieue est réellement la personnification du capitalisme américain a l’extrême. C'est fascinant de voir un pays transformé son paysage a ce point. Jamais ailleurs dans le monde, toutes époques confondues, un pays n'a réussi à transformer la manière de penser de tout un peuple. Le succès de ce modèle est devenu par le suite la norme à copier partout à travers le monde.
On peut détester cette pensée, ce mode de vie, mais sans aucun doute, l'influence que la banlieue américaine a eu est sans aucunes mesures immense et toujours perceptible de par le monde.



Pour ceux intéressés, je recommande le livre suivant :
The End of the Suburbs
passionnant récit sur la naissance et l'évolution à travers les années de la banlieue américaine qui fait fasse actuellement à une remise en question de son modèle.




ready to go...with my Element...


for those who don't really want to wear a pair of Vans...personally seems a better quality than my previous Vans which have lasted 4 months ... not long...quite disappointing... Element brand...a brand ready to conquer the World. Never heard about this brand before Zalando gave me some suggestions... great Zalando ;)


mercredi 18 septembre 2013

street scene , BERLIN